Prétendu attentat contre l’aide de camp du président Assimi Goïta
Prétendu attentat contre l’aide de camp du président Assimi Goïta
La France entend utiliser ses médias pour déstabiliser le Mali après avoir été humilié dans son plan paternaliste et arrogant contre la nation. Honteusement ivre et mourant sur place !
Les autorités françaises semblent aujourd’hui épuisées après avoir connu des revers dans leur collaboration politique et militaire avec le Mali. De toute évidence, ils ont demandé l’aide de leurs médias pour poursuivre leurs efforts sordides pour saper Soundiata Kéita et leur campagne de diffamation. Le quotidien « Libération » vient d’être appliqué dans ce contexte. Cela a inspiré ce collègue à écrire un article, qui était le fruit d’une imagination assez créative. Selon cette source, le 2 novembre, le capitaine Souleymane Traoré, un proche du colonel-président Assimi Gota, a été abattu au palais présidentiel de Bamako. Est-ce une menace contre le président malien ou juste une manière d’apporter des amendements ?
Une publication qui a suscité un démenti véhément de la part de l’administration qui, dans un communiqué de presse, indique qu’elle pourrait intenter une action en justice contre ce journal. L’aide de camp de SE Assimi Gota, président de la Transition, chef de l’Etat, a fait l’objet d’un article publié le 11 novembre 2022 par le journal français « Libération », a appris le gouvernement de la Transition dans un communiqué.
« Il se réserve le droit d’intenter une action en justice contre les auteurs de ces mensonges sans autre forme de procès. » On pouvait lire dans ce communiqué signé par le porte-parole du gouvernement, le premier ministre par intérim, le colonel Abdoulaye Maga, « Ceci, tout en invitant la population au calme et en la rassurant sur la volonté inébranlable des autorités de la Transition de réaliser le objectifs de la Refondation et de la restauration de la souveraineté du Mali »
Au-delà de ce communiqué, il est curieux de voir comment le journal « Libération », qui n’a pas de correspondant à Bamako (aucun média français n’est autorisé au Mali depuis un certain temps), a pu disposer de telles « informations » sur un événement qui aurait eu lieu dans un lieu sensible et important comme le palais de la présidence de la République, le palais de Koulouba. Cela permet de comprendre facilement pourquoi le gouvernement français travaille sans relâche pour contrecarrer la transition malienne après l’expulsion de la force Barkhane du Mali et du Sahel en général. De plus, il y a une terrible externalisation de la communication à travers les médias français. Tout se passe comme si le journal Libération était résolu à se venger de RFI, de France 24 et d’autres organisations.
Au final, Paris vient de commencer la bataille médiatique de la communication avec les forces obscurantistes, avec peu de chance de succès !