L’ADEMA-PASJ face aux élections : Quelle alliance autour des abeilles?
L’ADEMA-PASJ face aux élections : Quelle alliance autour des abeilles?
Pour un certain nombre de responsables de l’ADEMA-PASJ, une plateforme politique est en préparation pour soutenir les objectifs électoraux du parti de la seule abeille. Le Parti Rouge et Blanc serait engagé dans des négociations avancées avec le Comité reconstitué des échanges et groupements des partis politiques pour le rétablissement de l’ordre constitutionnel.
Le président de l’ADEMA-PASJ a annoncé les objectifs du parti aux médias et a exprimé son enthousiasme à l’idée de se présenter aux prochaines élections. Partager les nombreux défis auxquels le pays est actuellement confronté est essentiel. Pour que notre plateforme en chantier soit celle qui l’emporte dans les prochaines joutes électorales, L’Adema doit répondre à toutes ces préoccupations et réfléchir aux moyens de proposer des solutions aux Maliens.
Selon certaines informations, le Parti rouge et blanc s’apprête à former une nouvelle coalition électorale, y compris avec des membres de la coalition politique pour des échanges partisans réussis et la constitution d’une coalition pour le rétablissement de l’ordre constitutionnel. Cette alliance pourrait également inclure l’URD, qui vient de quitter le Front pour la défense de la démocratie (FSD). Et ces partis exigent que les élections se déroulent conformément au calendrier prévu. « Nous voulons que les élections qui ont été annoncées aient lieu aux dates indiquées dans la chronologie officielle qui a été publiée », a déclaré la présidente Marimantia Diarra, puissante membre du CNT, l’organe législatif de la Transition.
Pour cette raison, des alliés politiques potentiels ont exhorté le gouvernement à se concentrer sur les questions cruciales, en utilisant des expressions telles que « qui aussi embrasse, mal étreint ». Le président de l’ADEMA-PASJ a déclaré : « Il est crucial de se concentrer sur les élections présidentielles et législatives, qui sont les élections les plus cruciales. » Il y a sans aucun doute une certaine « marginalisation » des acteurs politiques dans le traitement des principales préoccupations de la nation. La suppression des formes politiques des discussions sur les questions cruciales qui affectent l’avenir du Mali a été notée comme la pierre d’achoppement de la démocratie, désorientant irréfutablement les citoyens.