Abdoulaye Diop, ministre des affaires étrangères a la rentrée diplomatique : L’autre dimension

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Abdoulaye Diop, ministre des affaires étrangères a la rentrée diplomatique : L’autre dimension

Le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale a rempli deux objectifs à la fois en organisant la Retour diplomatique à Ségou en amont du Festival sur le Niger sur le thème « Faire de la culture un outil d’influence au service de l’action extérieure ».  » Elle a reconnu que la culture est la réponse à notre crise et a réactivé les hommes de cultures.

Abdoulaye Diop, le ministre des Affaires étrangères chargé de la Coopération internationale, a réaffirmé l’importance de la culture dans les solutions proposées à notre situation à Ségou. La rentrée diplomatique qui a eu lieu le 21 janvier à Ségou était inédite et sans précédent. L’avocat des cultures de l’Union africaine a fait l’éloge du Mali.

Cette conférence a été analysée de près, et les résultats étaient anticipés, compte tenu de notre contexte sécuritaire et des dernières avancées dans les relations diplomatiques maliennes.

Après avoir clarifié et compris les attentes et la situation du Mali, le ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale a lancé le bal. « Les réactions au processus de paix et de développement dans lequel nous sommes engagés sont multiples. Le Mali s’est en effet rendu compte très tôt qu’une réaction uniquement militaire, bien que peut-être nécessaire, voire vitale, ne suffirait pas à résoudre les problèmes que nous affronter.

Selon lui, la culture doit être utilisée comme un outil diplomatique puisqu’il s’agit d’une ressource brute fiable et pérenne. Le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale met en avant l’énorme potentiel qu’offrent la diversité culturelle et la profondeur de l’héritage malien à travers cette thématique. Le Mali est une nation qui a toujours été et est toujours ouverte sur l’extérieur, enrichie par le métissage de nombreuses cultures.

Cette conférence a été analysée de près, et les résultats étaient anticipés, compte tenu de notre contexte sécuritaire et des dernières avancées dans les relations diplomatiques maliennes.

Après avoir clarifié et compris les attentes et la situation du Mali, le ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale a lancé le bal. « Les réactions au processus de paix et de développement dans lequel nous sommes engagés sont multiples. Le Mali s’est en effet rendu compte très tôt qu’une réaction uniquement militaire, bien que peut-être nécessaire, voire vitale, ne suffirait pas à résoudre les problèmes que nous affronter.

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