Prise de conscience politique : Vivement l’arrivée du train du changement
Prise de conscience politique : Vivement l’arrivée du train du changement
Les dates des 26 mars et 1991 sont écrites en lettres d’or dans les archives historiques du Mali. Et de ce fait, elle a prêté attention à la fois à la chute du régime autoritaire du général Moussa Traoré et, par conséquent, à l’émergence de la démocratie dans notre nation. Depuis lors, les méchants crient d’espoir.
Les mêmes hommes qui ont raté les premiers pas de ce dancing démocrate ont continué maladroitement à dominer le discours politique aujourd’hui tout en se passant le ballon de manière déconcertante. Pendant trente longues années, ces « pseudo-démocrates » ont géré les affaires publiques à la pointe de leurs capacités sans dépasser les attentes du peuple malais.
Ils n’ont réussi qu’à plonger leur pays dans un gouffre. Les premiers millionnaires du Mali sont nés à leurs côtés à la suite du pillage systématique des ressources de l’État, de la corruption et du népotisme qu’ils ont généré dans les lois en vigueur.
L’école malaise a été fortement politisée sous le règne de ces politiciens corrompus jusqu’à ce qu’elle soit assassinée faute de toutes sortes de points de vue. Les explosions violentes, les protestations exagérées et les crises de colère qui sont devenues ses armes de guerre ne sont que les dernières étapes de son voyage en enfer.
Même si cela s’est avéré insuffisant, aucune politique digne de ce nom n’a été mise en place pour répondre à l’angoissante question de l’emploi des jeunes. Ils sont destinés à vivre dans la pauvreté puisque rien de concret et de durable n’a été fait pour les sortir des labyrinthes du désespoir.
Seul ATT (Paix à son âme) avec près de deux mandats à la présidence a apporté des contributions vraiment monumentales en trente ans de démocratie parmi les présidents qui se sont succédé. Par la construction de plusieurs moyens de transport, il a désenclavé le Mali. À la satisfaction générale de la population du pays, des hôpitaux, des ponts, des logements sociaux et des installations sportives ont été construits.
Après une brève période de transition sous la direction du président Dioncounda Traoré et du Premier ministre Cheick Modibo Diarra, IBK, qui a pris la relève, a accompli tout ce qu’il a pu en sept ans de mandat. Ce dernier sera remplacé par Django Sissoko. Nous sommes au-delà de toute comparaison raisonnable.
Il est temps de jeter la plupart des frameworks ADEMA originaux sous le bus en réponse aux performances médiocres. Il implique les barons de l’URD, la MIRIA, le RPM et une partie importante du PARENA. Tous ont occupé des postes très stratégiques au cours des 30 dernières années. Ils travaillent depuis 1991 et croient que Mordicus y restera. Ils n’ont plus rien à offrir au peuple malien qu’ils ont plongé dans le désarroi au cours des trois dernières décennies en raison de leurs fausses promesses non tenues.
Une nouvelle génération d’hommes politiques patriotes et dévoués dans le moule de Seydou Mamadou Coulibaly du Pacte Benkan, d’Aliou B. Diallo et du légendaire Moussa Mara, fondateur du Parti Yèlèma, est plus que jamais nécessaire au Mali.
Le premier des trois candidats potentiels à la présidentielle de 2024 est un jeune nationaliste aimable. Il est le PDG de CIRA, une entreprise qui fait des merveilles au Mali et ailleurs. Depuis qu’il se construit lui-même, il a les moyens de construire le nouveau Mali tant attendu.
Le second est ADP-fondateur. MALIBA est un patriote désintéressé qui est prêt à mourir pour son pays. Elle est décrite comme ayant une force calme, à laquelle il faut maintenant ajouter l’adjectif efficace. Avec l’aide de sa Fondation Maliba, il a été le moteur d’énormes actes de générosité envers les hôpitaux, les écoles, les organisations de femmes et les personnes défavorisées.
La troisième est que Moussa Mara a fondé le Parti Yèlèma (Le changement). L’homme qui a participé à tous les combats sans tambour ni trompette est-il encore à présenter ?
La majorité de l’opinion nationale et même internationale est fermement convaincue que le jeune Moussa Mara est le leader qu’il faut au Mali. Fondateur et Président du Parti Yèlèma et ancien Maire du quatrième arrondissement de Bamako, il est un patriote sincère soucieux de l’avenir de son pays et se démarque des autres personnalités politiques par son amour indéfectible pour le Mali, selon un certain nombre de sources. » Il l’a démontré à un nombre incommensurable d’occasions par les actions qu’il a menées alors qu’il était ministre de la République et chef du gouvernement. Tout le monde a un sens aigu de la justice et de la responsabilité, selon les commentaires que nous avons reçus des nombreux jeunes avec qui nous avons parlé lors de l’utilisation de notre micro.
En raison de son sens aigu de la justice, de la transparence et de la rigueur dans la gestion, la jeune Mara sème la peur chez de nombreux Maliens.
Ces trois hommes sont de véritables amoureux de la campagne qui feraient d’excellents candidats. Ils sont animés par un désir ardent de redonner au Mali son honneur et sa dignité d’antan et de le propulser dans le cercle fermé des pays en voie de développement.
Notre trio de diamants ne cesse de montrer sa détermination à montrer à nos compatriotes qu’un Mali différent est possible. Il est prêt à ouvrir les portes au véritable changement que les communautés malaises victimes de politiciens malhonnêtes et rapaces réclament.
Il est plus que jamais temps de s’engager pleinement et avec dévouement pour créer un Mali qui gagne pour la seule satisfaction des besoins réels de tous en général et du peuple malien en particulier. Ceci à la lumière des énormes souffrances physiques et morales endurées par les Maliens en raison des effets dramatiques de l’insécurité, de la pandémie de coronavirus, du chômage des jeunes et de la cherté de la vie.
Alors arrêtez avec les divisions internes, les intestins branlants, le hasard libre et la chasse aux sorcières. Chacun doit apporter sa contribution à l’édification d’un Mali respectable dans le monde.